À PROPOS DE MARIANNE BORGNA-FRANSIOLI

Marianne Borgna-Fransioli en train de peindre, en Ardèche

Mon parcours

Née en 1970 à Grasse, je suis une artiste peintre autodidacte de formation universitaire en biologie.

La création artistique a accompagné discrètement ma vie, jusqu’à s’imposer lors de mon installation en Ardèche, me faisant basculer professionnellement à l’âge de 40 ans.

Mon univers artistique

Une peinture colorée et abstraite

Mes tableaux à l’aquarelle et à l’acrylique explorent la couleur, l’abstraction et la matière.

Des techniques innovantes

J’expérimente avec des additifs du quotidien (sel, paraffine, liquide vaisselle, alcool, fluidifiant…) et je travaille parfois sans pinceaux, cherchant à repousser les limites de la peinture et du support jusqu’au point de rupture.

Je fais surgir des images inattendues, retranscrivant ce qui m’est essentiel : formes, mouvement, textures et couleurs, inspirés par la nature et mon environnement.

Une démarche responsable

Le choix des matériaux

Soucieuse de l’impact de ma pratique sur l’environnement, j’utilise principalement du papier de récupération :

  • Emballages de pâtisseries

  • Pochettes de radiographies

  • Chutes d’encadrement

  • Chutes d’usines de cartonnages

  • Aquarelles ratées

Ce papier me sert autant pour peindre que pour fabriquer mes cartes de visite ou mes envois d’art postal.

J’emploie des peintures extra-fines et des aquarelles artisanales fabriquées en France.

L'aquarelle, entre contrainte et spontanéité

J’utilise une palette réduite (trois couleurs proches des primaires, ainsi qu’un bleu outremer et un rouge de cadmium), avec parfois des rehauts à l’encre de Chine.

J’aime travailler en technique humide sur du papier épais (300 g/m² ou plus), en explorant différents effets :

  • Pulvérisation d’eau

  • Apprêt du papier avec aplats de paraffine ou de craie grasse blanche

  • Réactions du médium et du papier à la projection de sel, d’alcool, aux frottements

Ce jeu entre contrôle et hasard me fascine : les contraintes techniques de l’aquarelle obligent à anticiper chaque geste, tandis que l’humide révèle des effets inattendus. Je tire parti de ces surprises jusqu’au séchage quasi complet du papier.

L’acrylique, un langage différent

Depuis 2018, j’expérimente également la peinture à l’acrylique.

Sans pinceaux, je fais couler les couleurs les unes après les autres pour faire surgir des images inattendues.

Ce processus repose sur une préparation minutieuse des teintes, avant une application rapide et instinctive sur la toile.

Site créé par Laura De Carvalho :  contact@lauradigitassist.fr

© 2025 Marianne Borgna-Fransioli. Tous droits réservés.

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